Rêves de sumos, de geishas, d’esprit zen et d’estampes… Choc immédiat. Autoroutes et voies ferrées superposées. agglomérations conglomérées. foules automatisées. Où sont les délices de l’Extrême-Orient... Plus loin, derrière le clinquant du moderne, la laideur du quotidien.
Délices d’un Japon millénaire, silhouette d’une geisha s’échappant d’une maison de thé, défilés de courtisanes et de samouraïs, combats des chefs au tournoi de sumos. Délices d’une nature aménagée, sublimée, jardins secs, jardins zen, vague de cerisiers en fleur, temples paisibles, tuiles vernissées. Délices d’une nature rebelle, inquiétante, mauvais œil du typhon, cône parfait du Fuji, eaux chaudes bienfaitrices, raz de marée. Pays des extrêmes, extrêmes délices, le Japon m’envahit, le Japon m’envoûte, le Japon me poursuit, le Japon m’agace, demain je retourne au Japon.
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